[Perso] Saigneur Dickinson.

Il arriverait bientôt à la cité indiqué sur sa carte. Le sable lui fouettait le visage, la tempête battait son plein.

Les portes de la cité se dressaient devant lui. Close comme toujours à cette heure. Après s’être acquitté de la taxe d’entrée il prit le chemin du centre ville pour y trouver une paillasse. Il entra sans hésitation dans la taverne du graal rouge. Lorsqu’il ouvrit la porte le silence se fit immédiatement dans l’établissement. La clientèle voyait de tout mais cet étranger encapuchonné et portant une grande cape noir ne leur inspirait pas confiance.

Le tenancier lui remit une chope d’hydromel et la clef de sa chambre pour la nuit en échange de quelques piécettes. Il lui avait donné une chambre à l’étage qu’il avait qualifié, d’assez calme pour passer une bonne nuit d’un bon sommeil réparateur. Mais comment pouvait-il se douter que jamais les nuits ne lui servait a dormir depuis ce soir d’il y as 4 ans.

Comme toujours il fourra en bouchon ses vêtements de rechange dans son lit pour faire croire qu’il y était. Puis d’un geste élégant il sauta par la fenêtre. Dans cette partie du monde les nuits était assez chaude et calme.

Alors qu’il marchait au hasard des rues il les vit. Ils couraient sur les toits, tous dans la même direction. Sa proie ne devait plus être très loin. La lune projeté leurs ombres sur le sol. Lui avait l’impression d’être épié et en même temps fuit par toutes ces formes. Ils le connaissaient et savait ce que pouvait provoquer sa colère.

Soudain en tournant au coin d’une rue il senti un vent froid lui fouetter le visage. Juste sous ces yeux se trouvait la personne qu’il avait si longtemps pistée. Accroupis la tête penché sur le corps d’une jeune femme. Un sanglot brisa le silence mais il ne se laissa pas atteindre, craignant de trahir sa position. Discrètement il sorti la lame de son fourreau. Seule cette lame pouvait tuer cet être. Sa quête touchait a sa fin, il ne pouvait faire demi-tour, il avait tant attendu ce moment.

L’homme portait un long manteau sable, recouvrant son pantalon et ses botes de cuir noir, et un élégant chapeau orné d’une plume pourpre.

Alors qu’il n’était plus qu’à quelques pas de lui l’individu se redressa et lui fit face.

« Alors comme ça tu as finalement finit par me retrouver. » Sa voie était douce et mélodieuse et sur son torse nue perlait des gouttes de sangs. La femme sur qui il était penché était maintenant sans vie, les yeux exorbités et le visage couvert de ses larmes. Deux trous caractéristiques apparaissaient dans la masse de sang qui recouvrait son cou.

« J’avais juré que je vous retrouverais, quoi qu’il m’en coute. Depuis ce soir ou vous avez étreint ma sœur je n’ai eut de cesse que de vous traquer. » Il tremblait de tout ces membres mais faisait de son mieux pour que cela ne transparaisse pas dans ces mots.

« Je crois que tu te méprend sur mes intentions. Si ta sœur est ce qu’elle est maintenant ce n’est que par son propre choix. Je n’étreins pas des gens qui ne le souhaitent pas, cela est pire que la mort pour eux. Je préfère leur apporter le repos éternel, disons que je leur laisse le choix que je n’ai jamais eut. »

« Vous mentez … »

« Si c’est ce que tu crois. » Puis dans un bruissement de cape il fit un large mouvement.


Le voyageur n’avait pas encore eut le temps de réaliser ce qui lui arrivait qu’il senti déjà les canines froides s’enfoncer dans son cou.

« Tu as fait beaucoup de chemin pour arriver devant moi. Quantité de mes confrères sont tombé sous les coups de ta lame ensorcelée. Pourtant ton sang ne me donne aucun plaisir. Je ferais un effort en le buvant jusqu’à ta mort ca un individu tel que toi ne mérite que la mort. »

Après ce message télépathique il intensifia son travail. La vie quittait peut a peut sa victime à qui il ne laissait aucune chance.
Un fois sa besogne achevé il posa une fleur de lotus sur le torse de l’inconnu. Une signature bien connue parmi les habitants de cette région.

Les rues étaient vides et ils était tous rentrés. Ses pas le menèrent donc naturellement à la caste. Après une bref discute avec ces généraux de la situation avec les autres clans il prit rapidement congé pour rejoindre sa compagne. Là il quitta son manteau et la retrouva comme a son habitude à l’attendre.

« Tu sais que je n’aime pas que tu rentre si tard depuis que ces chasseurs du clan des cappadociens ont réussis à te prendre par surprise. Je ne supporterais pas de te perdre. »

Il la prit dans ces bras, il senti ces doigts caresser son dos, jamais elle n’avait réellement tiré une croix sur ces sentiments et ses habitudes humaines. C’est pour ça qu’il l’aimait, elle pouvait le comprendre et ne contesterais jamais son jugement, malgré sa trop grande émotivité.

« N’ai aucune inquiétude, toutes les mesures ont été prise pour qu’ils n’osent plus jamais s’attaquer a nous. Je pense que même que tout les autres clans ont eut vent de nos agissements. Non, ce soir ce n’est pas un autre clan qui m’a ralentis, non ce soir ton frère m’a finalement retrouvé. »

Il senti alors une larme couler le long de son dos nu.

Ainsi fut la dernière nuit d’Alberto Magnus, frère de Lucita.
Lucita, femme et reine éternelle étreinte par le roi errant des vampires, Saigneur Dickinson.

Dans le post suivant la suite ... disons plutôt un autre bout de l'Histoire de mon personnage. Vous découvrirez asse vite que j'utilise un système narratif un peut spécial.

Sur ceux bonne lecture, n'hésitez pas a commenter, je vous fait la suite dès que ca vient ... mais la il est trop tard.

xxxxxxxLa nuit était belle, la lune pleine. Le clan était dans la région depuis trop longtemps déjà mais le maître ne voulait pas partir sans un nouvel élève. Depuis que Morwena les avaient trahis ils erraient sans cesse dans le pays pour trouver une personne que le maître considérerais digne de son sang.

« Ce soir sera le dernier dans cette région, il parlait a son clan avec calme, comme si il n’y avait pas de différence entre eux, comme s’ils étaient réellement frères. Cette nui nous attaquerons la ferme à l’extérieur de la bourgade de chemouic, il parait que la famille qui l’habite est étonnement résistante aux maladies. Leur sang devrait être fort gouteux. »

xxxxxxxDes langues passèrent sur les lèvres de ceux qui sortiraient ce soir. Comme d’habitude pour la dernière sortie avant de changer de campement seul les anciens du clan sortaient. La ferme semblait paisible et son éloignement du reste du village permettrais de ne pas trop s’embêter a être discret. La porte était ouverte, la famille fut rapidement rassemblée dans la cuisine. On voyait la peur dans leurs yeux, ils savaient ce qui leurs arriveraient, ils n’osaient même pas crier. Comme si Il aurait une quelconque forme de pitié pour ces êtres inférieurs. Il les regarda un par un, mais au bout de quelques instant il se pencha sur la mère, il savait qu’il manquait le jeune fils. Il lui chuchota :

« Si vous voulez le voir une dernière fois je vous conseil de bien vouloir me dire ou se trouve votre fils. »

xxxxxxxElle hocha la tête, jamais elle ne lui livrait son fils. Mais ses yeux l’avaient déjà trahi, un regard sur les escaliers. Il fit un geste à son plus fidèle général. Celui-ci pris immédiatement la direction du premier étage.

« Bien bien, je vous promet que ce sera rapide. Nous n’avons pas mangé depuis plusieurs jours, nous n’en laisserons pas une goutte. » Il savait que leurs cœurs battaient a tout rompre, il adorais voir le sang de ses proies gicler quand il se nourrissait.

« Maître laissez moi la jeunette, je lui ferait sa fête. Son sang doit être si savoureux a son âge »

« Tu sait très bien qu’on te la laisseras, son sang de jeune pucelle doit être acide et granuleux. »

xxxxxxxSoudain un cris, un bruit de choc provenant du premier étage. Quelques secondes plus tard des pas dans l’éscaliers.

« Merlok tu as encor pas put t’empêché de le tuer avant de nous le rapporter. »

xxxxxxxMais ce n’était pas merlok qui se tenait dans l’encadrement de la porte de la cuisine. Un enfant d’une douzaine d’année tenant d’une main un couteau de chasse ensanglanté et de l’autre un ours en peluche. La mère sanglota en voyant son fils, les larmes aux yeux s’élancer vers ce monstre que tous considéraient comme leurs chefs. Que pouvait faire un enfant de son âge à une telle créature ? Sûre de lui et de sa supériorité face à ce gamin il fit un geste pour l’esquiver. Des siècles de vie lui avaient permis de parfaire sa technique qui était maintenant presque imparable. Quelques gouttes de sangs éclaboussèrent le sol, tous avaient le regard tourné vers le maître. Un entaille fendait maintenant son visage un peut en dessous de son œil.

« Maître comment est-ce possible ?? Je n’avait jamais vue quelqu’un pouvoir vous toucher de la sorte. »

xxxxxxxL’enfant se tenait maintenant entre les anciens du clans et sa famille, prét a en découdre a tout instant. Ses yeux étaient maintenant rouges et le sang lui troublait la vue. Sa main tremblait mais il faisait de son mieux pour dominer la peur qu’il ressentait. Le maître s’avança d’un pas et lui tend la main, sa voie est suave et calme, la coupure de sa joue est quasiment résorbé.

« Jeune homme vous avez beaucoup de crans de vous opposer à des créatures comme nous, surtout a votre âge. »

« Vous ne me faites pas peur, je sait que vous ne toucherais pas à ma famille tant que j’aurais encor un souffle de vie. »

« Ecoute viola ce que je te propose, tu as du crans, je cherche quelqu’un qui désir devenir mon apprentis pour prendre la place de mon ancienne élève. Si tu accepte nous laisserons les tiens tranquille, mais si tu refuse nous n’aurons aucune pitié avec eux et tu sera jeté en pâture a nos sous-fifres. »


xxxxxxxLa mère éclata en sanglot, elle imploras son fils de fuir, de ne pas se laisser faire, de sauver sa vie.

« Vous êtes des créatures de Satan, pourquoi devrais-je vous rejoindre ? Vous me menacez de tuer ma famille mais j’ai déjà abattu l’un des vôtres sans qu’il ne puisse me blesser, et VOUS croyez être en position de force ? »

La suite, euh âmes sensibles commencez a vous abstenir de lire ça ... je vous en voudrait pas heing !!

xxxxxxxLa tension était palpable, personne n’osait bouger. Le maître savait déjà comme cela allé se passer, et ses hommes ne tentez même pas de rentrer dans la discutions.

« Je suis désolé maman mais c’est le seul choix que nous avons, je saurait m’en tirer. Vous n’aurez qu’à dire que je suis partis pour la ville. » Des larmes coulaient de ces yeux, il souffrait au plus profond de lui mais savait que ces monstres tiendrais leurs parole, jamais un des leurs ne toucherais a sa famille. Sa mère était couché au sol et hurlait, jamais elle ne leur laisserait son fils. Elle se jeta sur le plus proche, d’un geste il la retient, l’entrava et lui murmuras que si personne ne faisait le héros tout se passerais bien. « Papa j’espère que tu arriveras a t’en sortir avec les cultures, je sait que je te laisse avec beaucoup de travail mais je part le cœur léger. » Son père faisait de son mieux pour paraître fort mais des larmes perlait déjà de ces yeux. « Sœurette ne regarde pas ça, je veut que tu garde un bon souvenir de moi. »

xxxxxxxIl entendis son père et sa sœur fondre en larme au moment ou il lâchas son couteau. Il fit quelques pas vers son nouveau maître, il ne savait pas à quoi s’attendre avec toutes les rumeurs qui tournaient dans la région sur les vampires. Il sentit les bras du maître l’enlacer, sa tête basculé, une démangeaison dans le coup et une chaleur dans tout le corp. Puis plus rien.

xxxxxxxLe maître fit un signe à ses homes, il fallait préparer le réveil de son élève. Ils rejoignirent le clan, ils resteraient une nuit de plus sur place pour pouvoir partir avec son nouvel apprentis. Il creusa lui-même la tombe du jeune homme, loin au fond d’un trou, de la il ne pourrait les atteindre, il ne pourrait sortir sans se nourrir, sans dévorer ceux qu’ils lui avaient prépapré.

xxxxxxxLe maître le surveillait quand il ouvrit les yeux, il hurlas, une douleur insoutenable avait envahis son corps. Sa vue était troublé tellement il souffrait. Il réussit à s’extraire de ce trou, tout lui semblait plus intense, plus fort.

« Alors jeune apprentis enfin réveillé ? Je vais pouvoir vous donner votre première leçon. Vous devez déjà le savoir mais les vampires ont besoins de sang pour survivre. Nous pouvons boire le sang de tous les animaux vivants mais rien ne nous donne autant de force que le sang humain. Vue votre état il était impossible de vous amener a la chasse avec nous je vous ait donc fait mettre quelques bon spécimens au fond de la caverne, quand votre faim sera trop forte vous saurez les trouver. »

xxxxxxxIl vit son nouveau maître partir dans l’ombre. La faim le dévorait déjà, il ne savait pas ce qu’il faisait mais il se leva et pris la direction de l’endroit d’où il avait ressentis une présence. Comme s’il avait toujours sut qu’ils étaient là, comme s’ils l’attendaient. Trois humains était là, il ne prit pas la peine de réfléchir, son instinct avait déjà pris le dessus depuis longtemps, en quelques secondes il avait déjà vidé le premier de son sang et s’attaqua au second, celui la essayas de lui résister mais il lui brisa la nuque avant de le mordre. La dernière sanglotait, comme si elle savait ce qui l’attendait. Sa vue était moins trouble et il entrevit le visage de sa dernière proies, il la connaissait, mais il connaissait toute les femmes de la région. Il mordit sans pitié.